Point de vue | La France doit contribuer à une politique européenne de la santé
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Depuis l'année 2022, l'évaluation combinée des technologies de santé a apporté des modifications significatives aux conditions d'entrée sur le marché européen des nouvelles avancées dans le domaine de la santé. Thomas Rapp et Pierre Dubois se réjouissent de ce changement qui profite énormément aux patients de l'Union européenne.
Depuis le début de l'année 2022, l'Union européenne a commencé à mettre en place un processus d'évaluation conjointe des technologies de santé. Ce processus sera rendu obligatoire à partir de 2025 pour les médicaments anticancéreux, à partir de 2028 pour les maladies orphelines, et à partir de 2030 pour tous les médicaments. Cette nouvelle réglementation fait partie du programme de l'Union pour la santé 2021-2027, qui vise notamment à renforcer les systèmes de santé.
Ce règlement apporte des changements significatifs aux conditions d'entrée sur le marché européen des innovations dans le domaine de la santé. En effet, alors que l'Agence européenne du médicament était responsable de l'autorisation de mise sur le marché (AMM) depuis 2004, ce sont maintenant les autorités de santé nationales qui se chargent de l'évaluation des innovations.
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