Aramco, une société pétrolière saoudienne de premier plan, a choisi de retarder son introduction en bourse à Riyad au lieu de la précipiter. Cette entreprise, qui représente 15% de l'indice boursier saoudien, pourrait attirer les investisseurs grâce à ses performances financières.
Selon le journal Les Echos
Le proverbe saoudien souligne l'importance de la détermination pour atteindre un objectif, en particulier en ce qui concerne la pétromonarchie et sa volonté de rentabiliser Aramco.
Au lieu de rester passif et de trouver des excuses par la suite pour ne pas avoir diversifié son économie à temps, le prince héritier Mohammed ben Salmane (MBS) a décidé de cotiser en Bourse en décembre 2019, même s'il a dû réduire sa part internationale pour obtenir le prix qu'il jugeait satisfaisant.
Cet article est destiné uniquement aux personnes inscrites.
Créez un compte gratuitement
Consultez les articles exclusivement réservés aux membres inscrits
Une variété de bulletins d'information gratuits
La protection de vos contenus sur le site internet et l'appli
Nos vidéos
Paris sportifs en ligne : qui remporte vraiment de l'argent ?
Portugal, Espagne, Grèce : la victoire des pays méditerranéens
Les jeunes ont-ils des difficultés avec le monde du travail ?
La concurrence dans le secteur ferroviaire peut-elle faire baisser les tarifs des billets de train ?
Les articles les plus consultés
Fusions et acquisitions, EssilorLuxottica : une analyse approfondie
Résultats, Capgemini : avis ajusté
McDonald's : pouvoir de rénovation
En tête de l'actualité
La bourse inquiète face à un possible ralentissement de l'économie américaine
Les visiteurs affluent pour les JO 2024, avec un fort pouvoir d'achat
Thomas Cazenave : l'importance du budget dans la formation d'une coalition
Sélection
Résultats, Worldline : la prudence n'est pas récompensée
Banque, Société Générale : entre contraintes et avantages
CAC 40, Résultats, Schneider : une bonne dynamique
Informations pratiques
P
L'Ensemble
Tous les droits sont protégés par Les Echos en 2024.
