Le marché boursier est actuellement instable en raison des élections en France. Les entreprises françaises qui dépendent principalement du marché intérieur et sont sensibles aux variations des taux d'emprunt ont subi des pertes plus importantes que celles qui opèrent à l'échelle internationale, selon Goldman Sachs.
Selon Les Echos
Est-ce que la vérité est meilleure de l'autre côté de la Manche et l'erreur de ce côté-ci ? La City n'est pas effrayée par les élections surprises et a repris, vendredi, la tête en termes de capitalisation boursière, dépassant ainsi la place parisienne paralysée par la dissolution.
Selon Goldman Sachs, une vingtaine d'entreprises françaises qui génèrent au moins 31% de leur chiffre d'affaires en France et qui sont sensibles aux écarts de taux souverains ont vu leur décote traditionnelle par rapport à une trentaine de sociétés très internationalisées s'accentuer.
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