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Le président a été plus efficace pour faire face à ses adversaires lors des élections législatives (où la faillite est imminente avec eux) que pour susciter un nouveau dynamisme autour de sa personne. Gabriel Attal présentera un projet comprenant quelques mesures.
Écrit par Dominique SEUX
Il est intéressant de noter que les chaînes d'information en continu ont consacré peu de temps à discuter de la conférence de presse d'Emmanuel Macron, qui s'est terminée vers 13 heures. L'après-midi a été principalement marqué par les événements au siège de LR après le ralliement d'Eric Ciotti au RN. Lors de sa première intervention interactive depuis dimanche, le président n'a pas suscité un grand intérêt.
Il a utilisé des termes forts pour critiquer ses adversaires des 30 juin et 7 juillet, les qualifiant d'extrême-droite et d'extrême-gauche, alors qu'il se positionne comme représentant du camp central. Selon lui, ce qui est en jeu avec eux, c'est la faillite, la pauvreté et la détérioration de la situation des travailleurs, des retraités et des épargnants. Il était crucial d'éviter tout chaos.
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