Guide pour former des alliances
Guide exclusivement pour les abonnés
Contenu exclusivement pour les abonnés
Pendant que les partis politiques tentent de créer un gouvernement en France, l'Allemagne peut être prise en exemple avec son système de coalitions bien établi.
Écrit par Thibaut Mad
Quatre jours après le second tour des élections législatives, il y a encore de l'incertitude sur la composition du prochain gouvernement. Il semble nécessaire d'innover et peut-être s'inspirer des coalitions en Allemagne. Selon la députée libérale Sandra Weeser, les Français devront peut-être apprendre à former des coalitions, même si ce n'est pas une pratique habituelle pour eux.
En Allemagne, la formation d'une coalition suit un processus bien établi, qui comprend plusieurs étapes de durée variable. Le gouvernement actuel, dirigé par le chancelier Olaf Scholz du Parti social-démocrate (SPD), le ministre de l'Economie et vice-chancelier Robert Habeck des écologistes et le ministre des Finances Christian Lindner du FDP, a pris 73 jours pour se former. Pour le gouvernement précédent, formé par l'Union chrétienne-démocrate (CDU) d'Angela Merkel et le SPD, cela a pris 171 jours.
Cette information est uniquement accessible aux abonnés des offres Access et Premium.
Études économiques et tous les articles sur le Patrimoine : si vous êtes intéressé, l'offre Access est faite pour vous !
Nos vidéos abordent les paris sportifs en ligne : qui sont les véritables gagnants ? On parle également de la renaissance des « pays du Club Med » tels que le Portugal, l'Espagne et la Grèce. Est-ce que les jeunes ont réellement des difficultés avec le travail ? Peut-on espérer une baisse des prix des billets de train avec l'arrivée de la concurrence pour la SNCF ?
Les articles les plus lus portent sur le krach boursier de l'été, l'impact du CAC 40 sur nos vies, et la question de l'emploi. En une, on parle de la croissance économique boostée par les JO de Paris cet été, et des cérémonies à ne pas manquer. Du côté des marchés boursiers, on observe un rebond mais une certaine fébrilité persiste.
Dans nos éditos et analyses, on se remémore un article datant de 100 ans sur l'utilisation des couchettes de 2e et 3e classes dans les trains. On aborde également la vertu éternelle de la concurrence.
P
L'Ensemble
Tous les droits sont protégés – Copyright Les Echos 2024