La politique monétaire aux Etats-Unis doit prendre en compte le risque de déflation des biens. En avril, l'inflation des commodités a été la plus élevée depuis les années 1950, à l'exception d'une brève période en 2003, selon l'analyse d'Albert Edwards de la Société Générale.
Selon Les Echos,
En franchissant les 40 000 points, le marché a donné au président de la Réserve fédérale, Jay Powell, une autorisation de contrôler l'inflation, en particulier celle des services, qui reste élevée aux États-Unis (+5 % hors logement en glissement annuel).
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Cependant, Albert Edwards, le stratège de Société Générale, met en lumière une partie obscure de ces chiffres, où il voit la possibilité d'une déflation, une menace que l'on pensait éradiquée par le Covid-19. La chute des prix des biens, compensant l'augmentation des services, est la plus importante jamais enregistrée depuis le début de cette série statistique dans les années 1950, à l'exception de quelques mois en 2003.
Après vingt ans de faibles taux d'intérêt et de "hausse temporaire des prix", un expert s'inquiète d'une possible nouvelle erreur importante en matière de politique monétaire. Est-ce une situation dangereuse ?
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