Européennes: erreurs commises concernant les voitures électriques de luxe
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Les politiciens ont des priorités différentes de celles des entreprises industrielles. Les partis de droite souhaitent retarder la date prévue en 2035 pour interdire la vente de voitures thermiques neuves. Cela crée une situation délicate pour les constructeurs français, qui prévoient de commercialiser de nouveaux modèles à batterie.
Écrit par Guillaume Guichard
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Considérée comme trop coûteuse, ayant une autonomie limitée, responsable de la perte d'emplois, et vue comme une menace par certains par rapport aux intérêts chinois, il y a des voix qui souhaitent éliminer la voiture électrique. Lors des élections européennes, elle est devenue un enjeu politique, tout comme les éoliennes et les pistes cyclables l'ont été ces dernières années.
En réponse aux préoccupations de certains consommateurs, deux partis politiques, LR et le RN, ont décidé de faire de cette question un sujet de leur campagne électorale. Les têtes de liste François-Xavier Bellamy et Jordan Bardella ont pris pour cible l'interdiction de la vente de voitures neuves à essence en 2035 – les voitures d'occasion ne seront pas concernées.
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