La société Atos a déjà réduit ses objectifs de redressement opérationnel. Cependant, cela n'a pas encore remis en question le plan de restructuration financière.
Selon Les Echos
Le poète conseille à Atos de prendre son temps pour résoudre la crise et de revoir son travail à plusieurs reprises. Atos efface souvent des éléments plutôt que d'en ajouter.
L'équipe de sous-traitance informatique remet en question un plan de redressement opérationnel qui était trop optimiste, en raison de la baisse des revenus et de la perte de clients au premier semestre. La situation en septembre est différente de celle en août, tout comme celle en avril était différente de celle en février, avec une augmentation d'environ 2 milliards de la consommation de trésorerie et de la dette nette.
Selon le PDG de l'ancien banquier Jean-Pierre Mustier, le règne des financiers est révolu, comme il l'a déclaré aux « Echos » à la fin du mois de juillet. Cependant, la finance continuera à exercer une influence majeure sur les décisions prises par la future direction.
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La stratégie visant à réduire la dette nette de 3,1 milliards d'euros est toujours considérée comme efficace par l'entreprise. Cependant, un léger ralentissement de la croissance, similaire à celui connu par son concurrent Capgemini, a un impact disproportionné sur la rentabilité de l'année. Cela se traduit par une révision à la baisse du chiffre d'affaires chez l'un et le maintien du chiffre chez l'autre.
Il sera nécessaire de continuer de cette façon jusqu'en 2026, date à laquelle le cash-flow libre devrait redevenir positif. À moins que la figure emblématique de l'infogérance ne rencontre quelqu'un qui l'aide à achever le travail plus rapidement.
La valeur de l'action Atos continue de dépasser les prévisions des courtiers, et elle n'a pas encore pleinement absorbé toutes les implications du plan de restructuration financière. Selon Bloomberg et "Les Echos".
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