Vivement la déception ! Accès limité aux abonnés
Accès restreint aux abonnés
Lucie Castets et Gabriel Attal essaient de résoudre les problèmes politiques en France. Cependant, pour réussir, il sera nécessaire de rompre avec le Nouveau Front populaire. Sinon, c'est le front républicain qui sera compromis.
Écrit par Jean-Marc Vittori.
Après la fin des Jeux Olympiques, la lutte politique a recommencé en France. Heureusement, il s'agit d'une lutte pacifique où les acteurs utilisent la communication écrite plutôt que la violence physique pour exprimer leurs opinions.
Le lundi, Lucie Castets, candidate du Nouveau Front populaire pour le poste de Premier ministre, a envoyé une lettre officielle, signée également par les chefs des groupes parlementaires du Nouveau Front populaire. Le mardi, le Premier ministre démissionnaire, Gabriel Attal, a répondu au nom du groupe Ensemble pour la République.
Cette information est disponible uniquement pour les abonnés des niveaux Access et Premium.
Etudes économiques et tous les articles sur le patrimoine : l'offre Access est parfaite pour vous !
Nos vidéos
Paris sportifs en ligne : qui sont les véritables vainqueurs ?
Pays du Club Med : Portugal, Espagne, Grèce en pleine renaissance
Est-ce que les jeunes ont réellement des difficultés avec le travail ?
Est-ce que la concurrence peut faire baisser les tarifs des billets de train de la SNCF ?
Les articles les plus consultés
L'épargne des Français comme levier pour notre réindustrialisation
Il y a un siècle, dans nos archives : les Jeux Olympiques ne rencontrent pas le succès escompté
Vivement la trahison !
A la une
Mpox : le système de santé français placé en alerte maximale, annonce Attal
Le choix de Bernard Cazeneuve divise le PS et ne convainc pas le reste de la gauche
Emmanuel Macron réunit les chefs de partis en vue de former un gouvernement
Opinions et analyses
Pourquoi les investisseurs américains gardent confiance
Université : l'éloge de la réforme
Vivement la trahison !
P
L'assemblée
Propriété intellectuelle protégée – Le journal Les Echos 2024 détient tous les droits





