Opinion | Face à la situation où il y a une pénurie de professionnels de la santé, il est temps de permettre à davantage de personnes de se former et de choisir cette vocation. Ce contenu est disponible uniquement pour les abonnés.
De nombreux jeunes hésitent à se lancer dans des études de santé en raison des difficultés du métier. Sophie Boissard estime qu'il est nécessaire de faire face à cette crise en permettant aux formations de santé d'intégrer davantage l'apprentissage.
Par Sophie Boissard, à la tête du groupe Korian, en tant que directrice générale.
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D'après une enquête menée par Ipsos pour la Fondation Clariane, les jeunes en Europe ont une préférence pour les métiers liés à la santé et aux soins. En France, ces métiers se classent même à la deuxième place. Les jeunes les considèrent comme étant utiles, car ils contribuent au bien-être des autres et de la société, et ils en sont fiers.
Il est encourageant de voir que la génération actuelle cherche avant tout du sens dans sa carrière professionnelle. Ces choix sont rassurants, compte tenu du nombre croissant de professionnels dont nous aurons besoin pour répondre aux besoins grandissants de la population vieillissante en matière de santé.
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