Plan du Nouveau Front populaire : mise au clair des différends
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Jacques Attali, qui vote à gauche, pense que la gauche française, réunie sous l'étiquette NFP, ne pourra que se retrouver en échec et être rejetée par les électeurs dans le contexte actuel et avec un tel programme.
Écrit par Jacques Attali, un auteur et essayiste qui contribue aux chroniques des « Echos ».
Le parti politique de gauche en France, regroupé sous l'appellation NFP, pourrait bientôt se retrouver au pouvoir en mettant en œuvre l'intégralité de son programme et en respectant le calendrier établi. Il est possible qu'il ne soit pas renversé par une motion de censure immédiate, car il aurait reçu le soutien implicite du Rassemblement national, qui préfère laisser ses adversaires échouer pour remporter les élections suivantes.
En réalité, avec les conditions actuelles et un tel plan d'action, il est fort probable que la gauche ne réussisse pas et soit rejetée par les électeurs. Cela signifierait la disparition pour une longue période d'une vision politique de gauche dans ce pays.
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