Le secteur des services informatiques, la dette et l'entreprise Atos connaissent une situation familière. Après les cas d'Orpea et Casino, Atos doit également faire face à la restructuration de sa dette, malgré la faible valeur de ses actifs. En effet, les actifs immatériels qu'elle possède, et qu'elle devra déprécier, représentent plus de deux fois la valeur de ses fonds propres.
Selon une source des Echos
Prêteurs, je vous demande d'assurer l'équilibre financier, mais pas immédiatement. Atos, le groupe de services informatiques, a adopté une approche prudente pendant plus de deux ans, ce qui a entraîné une augmentation de sa dette brute atteignant 4,8 milliards d'euros. Il semble que cette situation touche à sa fin, comme cela s'est produit chez Orpea et Casino.
L'utilisation d'un mandataire ad hoc pour superviser les négociations avec les banques, qui possèdent la moitié des emprunts, semble être seulement une première étape, avant que la question des emprunts obligataires, représentant l'autre moitié et dont 1,25 milliard est dû avant mi-2025, ne soit incluse dans une procédure de sauvegarde.
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