L'agriculture est une bonne opportunité, mais elle présente certaines lacunes. Ce contenu est uniquement accessible aux abonnés. Réservé aux abonnés.
Gabriel Attal a présenté un ensemble de plusieurs mesures, d'un montant de 400 millions d'euros, dans son plan. Cependant, la question des coûts de production n'a pas été abordée.
Par moi, Dominique Seux
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Ce jeudi, une stratégie de communication agressive, comparée à un « tapis de bombe » par les experts, a été mise en place pour persuader les agriculteurs de lever les barrages. Gabriel Attal, entouré de trois ministres à Paris, puis Emmanuel Macron à Bruxelles, ont offert des garanties significatives aux principaux syndicats : une cinquantaine de mesures pour le premier, et des annonces importantes concernant les jachères pour le second.
Selon la FNSEA, les 40 000 agriculteurs qui se sont mobilisés ont remporté des victoires tangibles. Ils ont obtenu une aide financière pour les éleveurs, une pause dans la réduction de l'utilisation des produits phytosanitaires et des avantages fiscaux concernant les droits de succession. De plus, ils ont pu constater le soutien de la population, ce qui contraste avec le sentiment qu'ils ont d'être constamment critiqués sur leur manière de travailler.
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